Vous voulez conduire en Italie ? Nous l’avons bien fait : si vous utilisez les transports publics italiens, il peut être difficile de visiter les villages hors des sentiers battus et les zones rurales qui font de l’Italie une destination si spéciale. Vous voulez conduire en Italie ? Si vous comptez sur les transports en commun italiens, il peut être difficile de visiter les villages hors des sentiers battus et les zones rurales qui rendent l’Italie si spéciale. Bien que cela soit possible, et plus facile que vous ne le pensez, explorez des régions comme l’Ombrie et la Toscane en train et en bus, la location d’une voiture vous donne plus de flexibilité et de liberté. De plus, selon le nombre de personnes avec lesquelles vous voyagez, il peut s’agir de l’option la moins chère.
Conduire en Italie peut être intimidant, surtout compte tenu de la réputation redoutable des pilotes italiens. Mais si vous suivez ces 6 conseils, vous naviguerez sur les routes italiennes comme un local en un rien de temps – il suffit de poser le klaxon, s’il vous plaît.
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Plan de l'article
01. Que savoir sur la location d’une voiture ?
Oui, vous pouvez attendre d’obtenir l’Italie pour louer une voiture. Mais vous obtiendrez un meilleur prix et plus d’options si vous réservez avant votre voyage ; c’est souvent plus facile en ligne, même si vous pouvez également réserver par téléphone. La plupart des voitures de location peuvent être réservées en ligne ou par téléphone auprès de grandes chaînes internationales ou de petites entreprises.
L’assurance peut ne pas être incluse dans les plans selon l’entreprise, mais elle peut toujours être ajoutée moyennant des frais supplémentaires. Pensez à louer une voiture pour une période plus longue à un tarif plus avantageux (généralement la moitié du prix journalier) et tenez compte de la hausse du prix de l’essence dans votre budget !
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02. Les voitures automatiques sont limitées
Vous ne conduisez pas un levier de vitesses ? Vous serez peut-être surpris de savoir que la plupart des Italiens le font. La majorité des voitures en Italie sont donc à changement de vitesse (c’est-à-dire manuel) et non automatique. C’est ça signifie que les automatismes ont souvent une disponibilité limitée et coûtent généralement plus cher.
Des motos et des scooters sont également disponibles à la location, mais nous ne les suggérons pas pour les voyages de longue distance ou dans des zones que vous ne connaissez pas. Et n’essayez jamais d’apprendre à conduire un scooter pour la première fois dans une ville étrangère.
03. Techniquement, vous avez besoin d’un permis de conduire international
Lorsque vous louez une voiture, on ne vous le demandera probablement pas. Mais si on vous arrête ? Vous l’êtes peut-être. Ou vous pourriez ne pas le faire. Vraiment, on ne sait rien. Mais techniquement, vous êtes censé l’avoir (avec votre permis normal) lorsque vous conduisez, et les permis sont valables pendant un an.
04. Avoir une bonne carte, ou mieux encore, un GPS
Sur la route en Italie, les panneaux n’indiquent souvent pas le nord, le sud, l’est ou l’ouest ; ils utilisent plutôt un panneau de ville. Si vous voulez aller vers le nord depuis Rome, par exemple, vous pouvez chercher un panneau indiquant « Florence » ou « Milan ». Comme vous pouvez vous y attendre, cela peut être incroyablement déroutant pour quiconque n’est pas très familier avec la géographie italienne (surtout lorsque vous arrivez sur des routes plus petites, qui indiquent souvent leur direction avec des villes et villages plus petits !).
Nous vous recommandons d’avoir une bonne carte ou, mieux encore, de louer un GPS avec votre voiture (si ce n’est pas déjà inclus), au coût d’environ 10 à 15 euros par jour. Les systèmes GPS sont programmés en anglais et en italien, et peuvent être un cadeau du ciel pour vous guider à travers les routes sinueuses et les petites rues.
Les ronds-points, les intersections et les sorties des routes principales comportent souvent des panneaux indiquant les restaurants, les hôtels et les sites d’intérêt… mais vous devrez être un lecteur rapide pour tous les scanner.
05. Connaître les règles de la route italienne
Les Italiens roulent sur le côté droit de la route, tout comme les Américains. Cela peut sembler basique, mais vous seriez surpris du nombre de personnes qui ne le savent pas.
Les feux de circulation et les panneaux d’arrêt fonctionnent de la même manière que la plupart des autres pays, mais comme dans la plupart des pays d’Europe, les virages à droite pendant les feux rouges sont TOUJOURS ILLÉGAUX.
La zone de circulation limitée et la zone piétonne indiquent les rues piétonnes qui ne sont pas ouvertes aux voitures.
Un triangle rouge et blanc inversé signifie que vous n’avez pas de droit de passage à l’intersection.
En conduisant en Italie, quelques mots utiles à connaître sont destra (à droite), sinistra (à gauche), dritto (droite), uscita (sortie) et pedaggio (péage).
06. Attention à la limite de vitesse
Toutes les routes italiennes, des rues urbaines aux autoroutes, ont des limites de vitesse, généralement indiquées par un cercle blanc et rouge avec le chiffre (en kilomètres, PAS EN MILES, par heure) inscrit au centre.
Les policiers ne patrouillent généralement pas les routes ; au lieu de cela, des caméras sont configurées pour enregistrer la vitesse d’une voiture, émettant automatiquement un ticket. Et il y en a beaucoup, surtout sur les autoroutes !
Si vous avez loué une voiture en Italie, le billet sera envoyé à l’agence et le coût sera automatiquement prélevé sur votre carte de crédit. Donc non, vous ne pouvez pas en sortir simplement parce que vous avez quitté le pays.
Gardez un œil sur les panneaux qui montrent un agent de police avec la main levée, ou pour les boîtes autovelox orange, qui indiquent les pièges de vitesse et les points de contrôle.